• MémoireC'était une belle journée, tu étais resplendissante, j'étais mal à l'aise, mais tu m'aimais. Première rencontre, la pluie glissait sur nos visages ...
    Notre premier baiser, notre première fois, notre première dispute,
    Les premiers problèmes ...

    Plus tard nous avons continué notre chemin ensemble, un Jour :
    J'ai eu mal, ce jour a été un calvaire.
    Mon coeur, tu me l'as pris, il t'appartient et ce jour tu l'as transpercé une première fois ...
    Au fur et a mesure j'ai réussi à penser mes blessures pourtant si profonde en "ton" coeur mais ... il restait encore une douleur.
    Petit à petit on s'était reconstruit, mes sentiments ont grandit. J'ai finis par t'appartenir entièrement . Tellement que je ne croyais plus en moi-même, que je ne vivais que par toi, tu allais bien : j'allais bien, tu allais mal : j'allais mal.
    Tu as joué avec mon coeur, la blessure c'est réouverte, saignante, vicieuse, douloureuse, chaque jour j'ai eu de plus en plus mal jusqu'à cet instant ou j'ai reçu le coup de grâce.
    Deux fois, deux fois, j'ai souffert plus à chaque fois, ces moments pourtant similaire et tellement différent. Douleurs que l'on pourrait croire similaire, mais chacune unique.

    Qu'as-tu fais pour que j'y crois encore, pourquoi m'as-tu envouté, pourquoi je repense toujours a toi, pourquoi tu viens me rappeler chaque fois pourquoi je ne suis pas heureux.

    Je suis heureux avec toi, nous sommes heureux ensemble, nous avons vécu tellement de choses, nous sommes beau a voir. C'était notre avenir, la suite logique, le seul avenir possible ... mais maintenant il en est tout autre.
    Que vais-je devenir sans toi, je n'ai plus de toi, je ne peux plus vivre à travers toi, je ne peux plus vivre.

    La douceur de tes lèvres, la douceur de ta peau, ce visage que j'aime voir sourire. Quand la nuit tombe je m'imagine dans tes bras, heureux. J 'ai l'impression de te sentir prêt de moi. Tu es mon rêve, tu es mon coeur, je t'appartiens malgré tout.

    Je t'aime, encore, toujours et a jamais.



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